UMIALTAK : François, Josiane et la famille sont en navigation en direction des Açores. Position : 43-56 N et 56-35 W. Vents variables et fort sous les grains. Je ne pouvais converser avec Josiane ce matin en direct mais grâce au relai de Robert (Mélodie II) nous avons pu échanger quelque peu.
MÉLODIE II : Robert et Lucie sont également en direction des Açores. Position : 40-06 N et 39-33 W avec un vent plutôt de direction Nord à moins de 10 noeuds et pluie. Ils sont à 400 mn de leur destination.
ARGO V : Mona et Édouard sont au Labrador. Position 53-27 N et 55-45 W.
Nous n'avons pas entendu Lhasa (Yanick) ainsi que Fil d'O (Thierry)
PERSÉIDES : Daniel Kathleen et Léa sont maintenant à St-Pierre (Martinique). Une traversée depuis Roseau hier fut plutôt mouvementée et n'eut été du fait que Daniel avait un passager qui DEVAIT absolument être en Martinique hier, il ne serait pas parti... Ceci ne se reproduira plus nous a-t-il confirmé avec grande conviction ce matin. Pas de "fautque" en navigation car c'est la météo qui décide.
BLEU MARIE : Michèle et Jean-Pierre sont à Bequia. Iront ce matin remplir le propane et faire quelques courses puis se rendront visiter 1ère Escapade et Julia IV qui sont également à l'ancre.
1ère ESCAPADE : Carol et Lise prévoient demeurer quelques jours à Bequia; plusieurs voiliers québécois s'y trouvent et ils attendent Youppi aujourd'hui.
mardi 5 juillet 2011
SAFINA - Jean-Pierre et Colette à Miyako (Japon)


À Miyako nous avons été reçus par Tomari-San. Le lendemain, pour célébrer notre arrivée, nous étions invités à souper en compagnie de plusieurs de ses amis. Une soirée mémorable arrosée à l'awamori. Tomari nous a introduit à la cérémonie de l'Otori. Lors de cette cérémonie, de couleur strictement locale, chaque invité doit faite un petit discours et faire ensuite cul sec. On s'est assuré, bien sûr, de bien
Le lendemain je voyais le cardiologue… Je suis resté deux jours à l'hôpital. Le jeudi des amis venaient me chercher pour préparer le bateau pour le typhon qui devait se présenter le samedi matin. Il a duré sept heures. Nous voulions rester à bord, mais on nous l'a déconseillé fortement, heureusement. Nous avons demeuré dans un luxueux condo loué de Tomari à un prix très abordable.
Si vous avez des questions, n'hésitez pas à communiquer avec nous. Nous aimons toujours recevoir vos commentaires.
Vous pouvez nous suivre sur le site suivant :
Bonne visite
Jean-Pierre et Colette
lundi 4 juillet 2011
CAMINATA - Robert et Carmen à DARWIN (Australie)
TIME: 2011/07/04 22:42
LATITUDE: 12-25.62S
LONGITUDE: 130-49.54E
COMMENT: Ancrés à Darwin.
Jeu des marées assez compliqué, merci.
LATITUDE: 12-25.62S
LONGITUDE: 130-49.54E
COMMENT: Ancrés à Darwin.
Jeu des marées assez compliqué, merci.
YODA - Yvan et Louison au Lac Champlain
Yoda est présentement amarré à la marina de Westport au Lac Champlain en ce lundi 4 juillet 2011.
Nous quittons demain à destination de Deep Bay et le jour suivant, nous nous rendrons à St-Jean sur le Richelieu. Nous avons quitté Atlantic City dimanche le 27 juin au matin et sommes entrés à New-York vers 2h A.M. le soir même.
Nous avons dématé à Catskill et avons continué notre périple. Nous nous sentons bien près du Québec et loin des Bahamas. Il faut bien aller de l'avant.
Mes salutations à tous les navigateurs déjà arrivés à destination ou en route vers leur marina. Un gros bisous à toi.
Yvan et Louison du voilier Yoda
Nous quittons demain à destination de Deep Bay et le jour suivant, nous nous rendrons à St-Jean sur le Richelieu. Nous avons quitté Atlantic City dimanche le 27 juin au matin et sommes entrés à New-York vers 2h A.M. le soir même.
Nous avons dématé à Catskill et avons continué notre périple. Nous nous sentons bien près du Québec et loin des Bahamas. Il faut bien aller de l'avant.
Mes salutations à tous les navigateurs déjà arrivés à destination ou en route vers leur marina. Un gros bisous à toi.
Yvan et Louison du voilier Yoda
JULIA IV - Jean-François et Dominique à BEQUIA
Message reçu à 16h :
Comme prévu, on est parti de Rodney Bay ce matin à 03:10. On est arrivé à Bequia à 14:45, soit 11h30 de navigation pour 70 miles parcourus .... belle moyenne ! On a ainsi rejoint, 1ière Escapade et Voyage. Bleu Marie est arrivée juste avant nous. Demain Yoki devrait nous rejoindre. On a eu des vents de 20-25 noeuds dans les passages et une mer bien agitée, près de 2 m. Mais on est content. Demain matin ... douane. Et après-demain visite de l'île avec les amis. On a bien hâte.
Bises.
Jean-François et Dominique (Julia IV)
Comme prévu, on est parti de Rodney Bay ce matin à 03:10. On est arrivé à Bequia à 14:45, soit 11h30 de navigation pour 70 miles parcourus .... belle moyenne ! On a ainsi rejoint, 1ière Escapade et Voyage. Bleu Marie est arrivée juste avant nous. Demain Yoki devrait nous rejoindre. On a eu des vents de 20-25 noeuds dans les passages et une mer bien agitée, près de 2 m. Mais on est content. Demain matin ... douane. Et après-demain visite de l'île avec les amis. On a bien hâte.
Bises.
Jean-François et Dominique (Julia IV)
BLEU MARIE - Michèle et Jean-Pierre à BEQUIA
Message reçu à 15h00
Nous venons d'arriver à Bequia. Tout s'est très bien passé jusqu'à la pointe sud de Saint-Vincent ou les conditions se sont dégradées: grains, vent, vagues.... Enfin, c'est la vie de marin. Nous avons croisé, c'est littéralement le cas de le dire Julia IV juste un peu au nord de Wallilabou, St-Vincent. Je crois qu'il ne devrait pas tarder.
Contents de savoir qu'enfin ton bateau est à l'eau et que tu pourras en profiter. C'est les vacances!!!
Je ne sais combien de temps on demeurera ici...On te tiens au courant. Nous avons fait une belle découverte: la limite de la zone cyclonique telle que définie par nos assurances se situe au 12,30. Donc Mayereau, les Tobago Cays et les Grenadines sont safes théoriquement. Nous touchons bientôt au but.
On t'embrasse fort,
Michèle et Jean-Pierre
Nous venons d'arriver à Bequia. Tout s'est très bien passé jusqu'à la pointe sud de Saint-Vincent ou les conditions se sont dégradées: grains, vent, vagues.... Enfin, c'est la vie de marin. Nous avons croisé, c'est littéralement le cas de le dire Julia IV juste un peu au nord de Wallilabou, St-Vincent. Je crois qu'il ne devrait pas tarder.
Contents de savoir qu'enfin ton bateau est à l'eau et que tu pourras en profiter. C'est les vacances!!!
Je ne sais combien de temps on demeurera ici...On te tiens au courant. Nous avons fait une belle découverte: la limite de la zone cyclonique telle que définie par nos assurances se situe au 12,30. Donc Mayereau, les Tobago Cays et les Grenadines sont safes théoriquement. Nous touchons bientôt au but.
On t'embrasse fort,
Michèle et Jean-Pierre
SAFINA - Jean-Pierre et Colette au JAPON

Message transmis le 3 juillet à Anbô, Yakushima, Japon.
Bonjour chers parents et amis,
Le dernier message que nous vous avons transmis a été écrit de Puerto Princesa aux Philippines. Cette petite ville de la province de Palawan se situe à la latitude 10 degrés nord. Nous vous écrivons maintenant de la latitude 28 degrés nord. En gros nous avons parcouru 2 000 milles nautiques ou 3 700 km depuis notre dernier contact en janvier dernier. Nous sommes maintenant au Pays du soleil levant, dans le port de Koniya sur l'île de Amami-O-Shima. Cette petite île fait partie du groupe Nansei Shoto (Ryukyu) au sud du Japon.
De Palawan à Luzon
De Luzon à Amami-O-Shima
Je vous écris dans l'attente de notre quatrième tempête tropicale en deux mois. Celle-ci devrait se faire sentir dans quelques jours. Nous attendons des vents de plus de 50 N (100 km/h). Je dois vous avouer que nous en avons plus que marre de ces phénomènes. Elles sont très anormalement nombreuses cette année, en début de saison. Doit-on blâmer le réchauffement planétaire pour tous ces changements climatiques intempestifs ? Elles sont malheureusement la cause de notre retard sur notre itinéraire. Nous sommes constamment arrêtés pour préparer le bateau et pour nous mettre à l'abri. Selon notre calendrier, nous devrions déjà être à Nagasaki.
Nous avons bien pensé perdre Safina lors du passage du typhon Songda (catégorie 4) à Miyako Jima à la fin mai. Nous l'avons observé dans le port se démener, rouler, tanguer, gîter, faire des embardées dans des vents de plus de 100 nœuds (185 km/h) comme un insecte qui essayait, dans un effort ultime, de se libérer de la toile d'araignée que nous avions tissé autour pour l'amarrer solidement. La vision était horrible et requérait un cœur solide. (
Parlant de cœur solide, c'est aussi à Miyako, quatre jours avant l'arrivée du typhon que j'ai dû subir une angioplastie. Lors de la traversée entre Puerto Galera, Philippines et Ishigaki, Japon je souffrais, dans des situations difficiles et corsées en navigation, de douleurs à la poitrine. Ces douleurs avaient disparu à Ishigaki mais avaient repris à Miyako. Le cardiologue que j'ai consulté m'a fait subir un angiogramme qui a révélé qu'une de mes artères coronaires était bloquée à 99 %. Une angioplastie consiste à gonfler l'artère à l'obstruction à l'aide d'un ballonnet et d'y introduire une endoprothèse (stent), sorte de tube en métal de forme hélicoïdale. Je me sens mieux maintenant. C'est maintenant avec un cœur léger et bien oxygéné que je peux accepter la légèreté de mon portefeuille, car cette intervention m'a coûté la charmante somme de 10 000 $...
Nous avons sillonné l'archipel des Philippines du sud au nord. La traversée de la mer de Sulu, deux jours de navigation, nous a amené à l'extrémité sud de l'île de Negros dans une petite baie qui s'appelle Bonbonon. Ensuite par petite étape d'une journée nous nous sommes arrêtés sur l'île de Bohol et avons longé la côte de l'île de Cebu jusqu'à Port Carmen au chantier Pinoy Boat. Port Carmen, un petit village au Nord de la capitale de l'île de Cebu, la ville de Cebu, se voulait une petite escale mais nous y sommes finalement restés deux mois et demi à cause principalement d'un problème de moteur. L'échangeur de chaleur du Yanmar fuyait et nous avons dû le faire usiner. L'atelier spécialisé de Cebu nous a fait un excellent travail au coût de 500 $, une aubaine si l'on ne considère que l'achat d'une pièce neuve aurait coûté 2 500 $. À ce coût, il fallait ajouter les frais de transport de l'Australie 500 $ et le pot-de-vin de 500 $ que nous aurions dû payer pour faire dédouaner la pièce. La corruption est omniprésente aux Philippines et on n'y échappe pas.
Le chantier Pinoy Boat à Port Carmen
Nous en avons profité pour faire faire quelques travaux et réparations : appliquer une pièce sur le bimini, recouper la chute de la grand-voile, recouvrir nos vieux coussins de flottaison, fabriquer des couvre défenses et refaire le teck sur la plage arrière. Nous avons aussi fait fabriquer une porte d'écoutille principale grillagée en inox, sécurité oblige ici aux Philippines. Colette dort beaucoup mieux maintenant dans les mouillages.
C'était aussi avec grand plaisir que nous avons renoué avec des amis de Sebana Cove, Cliff et Ruth, deux Canadiens de Vancouver avec qui nous avons passés de bons moments. Ils étaient là depuis plus d'une année à effectuer d'importants travaux.
Pendant notre séjour à Port Carmen, nous avons été bouleversés d'apprendre au sujet de la catastrophe qui venait tout juste de frapper le Japon. Pour nous cette tragédie avait une double signification ; devait-on annuler notre voyage et à tout le moins le remettre en question ? Nous avions tellement investi dans ce projet, matériellement et moralement. Pour nous, les deux facettes de cette question signifiaient que jamais nous pourrions visiter le Japon en bateau. Nous ne sommes plus très jeunes et il nous reste tellement de chemin à parcourir pour compléter nos objectifs et la circumnavigation. Nous avions planifié de nous rendre jusqu'à Osaka. C'était la ville la plus septentrionale de notre voyage. Nous avons donc suivi la situation pendant quelque temps. De plus, des amis résidents et navigateurs au Japon nous informaient régulièrement de l'évolution de la situation. On nous assurait que physiquement la région que nous planifions de visiter était saine, mais que le coût de la vie avait légèrement augmenté. Mais de toute façon, on s'attendait à payer beaucoup plus cher dans ce pays, d'ailleurs après les Philippines tout est plus cher. Il ne nous en prenait pas plus pour prendre une décision et aller de l'avant.
La République unitaire des Philippines avec ses 92 millions de populations couvre une superficie de 300 000 km2. On y parle deux langues principales le tagalog et l'anglais, mais aussi une multitude de dialectes. À titre d'exemple, le visayas qui ressemble beaucoup à l'espagnol. Le peso philippin est la monnaie d'échange : 40 pesos = 1 $.
Les Philippines sont une république présidentielle multipartiste où le président est à la fois chef de l'État et chef du gouvernement. Le pouvoir exécutif est aux mains du gouvernement tandis que le pouvoir législatif est partagé entre le gouvernement et les deux chambres du parlement. Le système gouvernemental des Philippines est inspiré du système américain.
Dates historiques (Internet) :
16 mars 1521 Magellan découvre les Philippines :
À la tête d'une expédition de trois navires (il en a perdu deux en route) battants pavillon espagnol, le navigateur portugais Fernand de Magellan, arrive en vue des Philippines. Parti le 20 septembre 1519, Magellan a réussi à atteindre l'Asie par la route de l'ouest. Il débarquera aux Philippines et y évangélise la population locale. Le 27 avril, il sera tué par des indigènes de l'île de Mactan.
12 juin 1898 la première indépendance des Philippines :
Tandis que les États-Unis entrent en guerre contre l'Espagne, les Philippines, archipel d'Asie du Sud-Est, proclament leur indépendance. Les Philippines étaient sous domination espagnole depuis 1565. Mais, les États-Unis ne reconnaîtront pas cette indépendance et réprimeront durement les révoltes indépendantistes menées par Emilio Aguinaldo. L'autonomie sera accordée en 1934 et l'indépendance ne deviendra effective qu'en 1946.
4 juillet 1946 Indépendance des Philippines :
Après le retrait des troupes japonaises fin 1944, l'archipel des Philippines proclame son indépendance. Le pays avait déjà acquis sa souveraineté lorsque la guerre hispano-américaine de 1898 mit fin à la colonisation espagnole. Mais les États-Unis qui avaient refusé de reconnaître cette indépendance ont occupé le pays pendant 47 ans. Libérées de toute présence étrangère, les Philippines doivent maintenant se reconstruire après quatre années de guerre contre le Japon.
Voilà pour la partie historique !
Port Carmen où se trouvait le chantier Pinoy Boat n'était qu'à 90 minutes de Cebu la capitale de l'île et la deuxième plus grande ville du pays avec 850 000 habitants. Régulièrement nous nous y rendions par bus pour faire des emplettes, car l'approvisionnement à port Carmen et Danoa était très sommaire. Nous trouvions de tout dans cette ville très moderne dotée à notre grand plaisir d'énormes centres commerciaux. Nous avons bien aimé Cebu. Les restaurants et la nourriture étaient excellents et surtout à bas prix.
JULIA IV - Jean-François et Dominique vers BEQUIA
Message de dimanche soir :
On pense partir de Ste-Lucie, la nuit prochaine, le 4 juillet. Direction Bequia
Jean-François et Dominique (Julia IV)
On pense partir de Ste-Lucie, la nuit prochaine, le 4 juillet. Direction Bequia
Jean-François et Dominique (Julia IV)
BIDULE - Lizanne et Gaston - RÉCIT Brésil
Message reçu dimanche le 3 juillet
Une petite note sur mes textes sur le Brésil. J’utilise souvent le Brésil ou les Brésiliens en général. Nous avons seulement visité une petite partie de quatre sur vingt six États du Brésil, tous au Nord-Est. C’est immense comme pays... Presque aussi grand que le Canada mais avec dix fois plus d’habitants. Donc ce qui est écrit sur le Nord-Est ne s’applique pas nécessairement aux autres régions tout comme Montréal n’est pas comme Vancouver. Par exemple, il a été facile pour nous d’obtenir un extension de 90 jours pour pouvoir rester au Brésil pendant 180 jours en tout. Par ailleurs, nous avons entendu des rumeurs que ce n’est pas aussi facile d’obtenir la même extension au sud du Brésil. Différents États, différents règlements. Je vais continuer à utiliser les termes généraux donc gardez en tête que je parle du Nord-Est.
Comme vous allez voir dans plusieurs des textes que je vais écrire dans le futur, un sujet très intéressant du Brésil est le peuple. Nous avons histoires après histoires de Brésiliens qui ont été généreux et aidant avec nous. Par exemple, à Jacaré, nous avons essayé d’envoyer notre désalinisateur au États-Unis pour réparation. J’écris essayé car il est finalement retourné au Canada avec le concours de la soeur de Gaston parce que l’envoyer par colis était trop compliqué à cause des douanes. Donc nous avions besoin d’une boîte, du ruban, du rembourrage, etc. et nous sommes parti à la recherche de ces articles. Et bien, chaque marchand rencontré a fait de grands efforts pour comprendre ce que nous voulions et nous répondre ttttrrrèèèèssss llleeennnttteeemmmeeennnttt pour s’assurer que nous comprenions la réponse. Vous allez peut-être dire que c’est seulement un peu de politesse de base. C’est peut-être vrai mais, ce qui rend les brésiliens encore plus spéciaux est que si ils n’ont pas la marchandise demandée, ils nous indiquent exactement où aller la trouver. De plus, lorsqu’ils avaient compris ce que nous voulions, ils nous l’écrivaient sur un bout de papier pour que nous puissions le montrer au prochain marchand. Nous avons souvent regretté de ne pas mieux parler portugais pour pouvoir discuter plus avec eux. Il faut aussi parler de Francis, un des deux propriétaires de la marina, et Christine, sa femme. Ils se donnent beaucoup de peine pour aider les navigateurs. Gaston a eu un problème avec une dent et c’est Christine qui a pris pour lui le rendez-vous chez la dentiste. Elle a aussi servi de traductrice. Ils ont aussi participé à plusieurs activités avec nous dont le Carnaval et la Saint-Jean. Leur présence fut bien apprécié.
Quelques petites notes rapides aux navigateurs... Brésil n’est pas le bon endroit pour se faire livrer des pièces d’équipement. Les douanes imposent une taxe de 100% sur l’importation. Ce n’est pas non plus un bon endroit pour acheter des pièces qui ne sont pas fabriqués au Brésil car la même taxe s’applique. Retourner de l’équipement est aussi presque impossible. Les douanes veulent savoir exactement pourquoi le matériel est retourné par écrit et en portugais. Pour la navigation sur le Paraiba, l’entrée sur Cabedelo se fait bien. Les bouées indiques bien le canal à prendre mais idéalement, il est préférable d’arriver de jour à la marée montante. Si l’arrivée est faite de nuit, il est recommandé de mettre l’ancre en face de Cabedelo et d’attendre au lendemain pour remonter jusqu’à Jacaré. Il y a un dragueur qui se promène dans le chenal d’entrée. Il faut faire particulièrement attention car il est gros et change souvent de direction. Attention aussi aux traversiers entre Cabedelo et la rive opposée. Il y a de la place pour mouiller un peu partout en face de Jacaré ou vous pouvez aller sur pendille à la marina. Le mouillage est pratique si vous arrivez l’été et que vous voulez avoir plus d’air et moins de moustiques. De plus, la marina offre un forfait pour utiliser ses services tout en étant au mouillage. Le bémol de Jacaré c’est les moustiques. Plein, plein, plein. Ça prend beaucoup de stuff à bibite et de bons moustiquaires.
J’ai ajouté un autre montage sur le site web. Celui-ci est de Jacaré et des environs. Vous pouvez le trouver au http://bidule.micro.org/Site/Jacare.html.
Lizanne (VA2DUO) et Gaston (VA2VIF)
Sur Bidule au Brésil
Une petite note sur mes textes sur le Brésil. J’utilise souvent le Brésil ou les Brésiliens en général. Nous avons seulement visité une petite partie de quatre sur vingt six États du Brésil, tous au Nord-Est. C’est immense comme pays... Presque aussi grand que le Canada mais avec dix fois plus d’habitants. Donc ce qui est écrit sur le Nord-Est ne s’applique pas nécessairement aux autres régions tout comme Montréal n’est pas comme Vancouver. Par exemple, il a été facile pour nous d’obtenir un extension de 90 jours pour pouvoir rester au Brésil pendant 180 jours en tout. Par ailleurs, nous avons entendu des rumeurs que ce n’est pas aussi facile d’obtenir la même extension au sud du Brésil. Différents États, différents règlements. Je vais continuer à utiliser les termes généraux donc gardez en tête que je parle du Nord-Est.
Comme vous allez voir dans plusieurs des textes que je vais écrire dans le futur, un sujet très intéressant du Brésil est le peuple. Nous avons histoires après histoires de Brésiliens qui ont été généreux et aidant avec nous. Par exemple, à Jacaré, nous avons essayé d’envoyer notre désalinisateur au États-Unis pour réparation. J’écris essayé car il est finalement retourné au Canada avec le concours de la soeur de Gaston parce que l’envoyer par colis était trop compliqué à cause des douanes. Donc nous avions besoin d’une boîte, du ruban, du rembourrage, etc. et nous sommes parti à la recherche de ces articles. Et bien, chaque marchand rencontré a fait de grands efforts pour comprendre ce que nous voulions et nous répondre ttttrrrèèèèssss llleeennnttteeemmmeeennnttt pour s’assurer que nous comprenions la réponse. Vous allez peut-être dire que c’est seulement un peu de politesse de base. C’est peut-être vrai mais, ce qui rend les brésiliens encore plus spéciaux est que si ils n’ont pas la marchandise demandée, ils nous indiquent exactement où aller la trouver. De plus, lorsqu’ils avaient compris ce que nous voulions, ils nous l’écrivaient sur un bout de papier pour que nous puissions le montrer au prochain marchand. Nous avons souvent regretté de ne pas mieux parler portugais pour pouvoir discuter plus avec eux. Il faut aussi parler de Francis, un des deux propriétaires de la marina, et Christine, sa femme. Ils se donnent beaucoup de peine pour aider les navigateurs. Gaston a eu un problème avec une dent et c’est Christine qui a pris pour lui le rendez-vous chez la dentiste. Elle a aussi servi de traductrice. Ils ont aussi participé à plusieurs activités avec nous dont le Carnaval et la Saint-Jean. Leur présence fut bien apprécié.
Quelques petites notes rapides aux navigateurs... Brésil n’est pas le bon endroit pour se faire livrer des pièces d’équipement. Les douanes imposent une taxe de 100% sur l’importation. Ce n’est pas non plus un bon endroit pour acheter des pièces qui ne sont pas fabriqués au Brésil car la même taxe s’applique. Retourner de l’équipement est aussi presque impossible. Les douanes veulent savoir exactement pourquoi le matériel est retourné par écrit et en portugais. Pour la navigation sur le Paraiba, l’entrée sur Cabedelo se fait bien. Les bouées indiques bien le canal à prendre mais idéalement, il est préférable d’arriver de jour à la marée montante. Si l’arrivée est faite de nuit, il est recommandé de mettre l’ancre en face de Cabedelo et d’attendre au lendemain pour remonter jusqu’à Jacaré. Il y a un dragueur qui se promène dans le chenal d’entrée. Il faut faire particulièrement attention car il est gros et change souvent de direction. Attention aussi aux traversiers entre Cabedelo et la rive opposée. Il y a de la place pour mouiller un peu partout en face de Jacaré ou vous pouvez aller sur pendille à la marina. Le mouillage est pratique si vous arrivez l’été et que vous voulez avoir plus d’air et moins de moustiques. De plus, la marina offre un forfait pour utiliser ses services tout en étant au mouillage. Le bémol de Jacaré c’est les moustiques. Plein, plein, plein. Ça prend beaucoup de stuff à bibite et de bons moustiquaires.
J’ai ajouté un autre montage sur le site web. Celui-ci est de Jacaré et des environs. Vous pouvez le trouver au http://bidule.micro.org/Site/Jacare.html.
Lizanne (VA2DUO) et Gaston (VA2VIF)
Sur Bidule au Brésil
BLUE TANG - Guy en Espagne
Message en date du 3 juillet
je suis présentement ancré à Benidorm un peu au nord d'Alicante (Espagne).
Ma position est la suivante:
38, 32'N.
000, 07'W.
je me dirige vers: 38, 54'N. 001, 27'E.
Salutations et à la prochaine,
Guy Martin
VA2BTZ
je suis présentement ancré à Benidorm un peu au nord d'Alicante (Espagne).
Ma position est la suivante:
38, 32'N.
000, 07'W.
je me dirige vers: 38, 54'N. 001, 27'E.
Salutations et à la prochaine,
Guy Martin
VA2BTZ
UMIALTAK - Josiane et la famille vers les Açores
Voici notre position:
44 47 736 N
59 09 63 W
Dans la brume depuis hier pm. Naviguons au près. Vent très calme depuis ce matin.
Josiane
44 47 736 N
59 09 63 W
Dans la brume depuis hier pm. Naviguons au près. Vent très calme depuis ce matin.
Josiane
LHASA - Yanick en navigation vers NY
Message du 4 juillet à 07h00
Position:
39 degrés 56.12'N
070 degrés 05.87'W
mer: peu agité, vent d'ouest à 10 noeuds, brouillard dense avec visibilité très réduite
Nous progressons au moteur à 5 noeuds à 290 degrés vers NY avec AIS et radar en marche.
Il nous reste moins de 190 MN à faire.
ETA: 40 heures, soit tard mardi soir à moins que les conditions ne s'améliorent.
Merci à tous pour votre précieux support!
88 pour Nycole et 73 au reste du réseau!
Yanick
Position:
39 degrés 56.12'N
070 degrés 05.87'W
mer: peu agité, vent d'ouest à 10 noeuds, brouillard dense avec visibilité très réduite
Nous progressons au moteur à 5 noeuds à 290 degrés vers NY avec AIS et radar en marche.
Il nous reste moins de 190 MN à faire.
ETA: 40 heures, soit tard mardi soir à moins que les conditions ne s'améliorent.
Merci à tous pour votre précieux support!
88 pour Nycole et 73 au reste du réseau!
Yanick
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