Nouvelles des Navigateurs

Ce blogue a été conçu par Nycole - VE2KOU et se veut un point de rencontre
entre les navigateurs, familles et amis du Réseau du Capitaine et de la CONAM.

mardi 6 septembre 2005

Les Gambiers

LES GAMBIERS

L'archipel des Gambier ressemble à un losange qui serait orienté N/S E/O. Les cotés N/W et N/E sont constituées par la barrière de corail. Elles se prolongent sur les cotés E/S ET W/S mais la partie sud est ouverte. L'ensemble constitue un immense lagon parsemé d'îles et d'îlots. La plus grande de ces îles s'appelle Mangareva avec le village de Rikitea capitale des Gambier. Les autres Îles sont Taravaî Aukena Aka-Maru. Il existe deux passes pour pénétrer dans ce lagon. La mieux abritée est celle de l ouest. Elle est en plus balisée jusqu'au mouillage de Rikitéa. Bien suivre les bouées rouges car max- sea (version 10) est un peu faux surtout pour l'approche de Rikitea. La passe sud est beaucoup plus large mais plus sujette aux houles de sud fréquentent ici.
                                     
                                            
Le mouillage de Rikitea est en fait un deuxième lagon à l'intérieur du premier. Il se situe entre la côte et une barrière de corail située grossièrement parallèlement à cette côte à environ 400 mètres de celle ci. Les fonds sont d'environs 14 mètres et plus mais ils remontent rapidement sur les cotés limitant ainsi l'évitage ce qui fait que les places ne sont pas nombreuses. 

Il ne faut pas hésité à mouiller 50 mètres de chaine car les rafales dues aux effets venturi des collines de Mangareva sont fréquentes, et ces vents sont tournants. 

Nous avons dérapé par deux fois avant de trouver un bon mouillage. A chaque fois cela était lié aux rafales de vent. Nous y avons subi de nombreuses rafales à plus de 30 noeuds dont une à 42 nds.

L'aéroport est situé sur la barrière de corail dans son coté N/E
L'archipel reçoit un avion par semaine et un bateau toutes les trois semaines.
On retire les paquets arrivant par avion " Air Tahiti" au bureau de la Cie situé à la mairie.
Les boutiques (5 ou 6) presque toutes tenues par des chinois sont ravitaillées par ces moyens de liaison et une affluence de voiliers de passage déséquilibre ces points de vente qui sont vite dépassés.
On y trouve rarement des légumes frais de plus il n y a aucune culture ou très rare sur l’île, par contre suivant la période on peut bénéficier des fruits que les Mangaréviens se font un plaisir à offrir gratuitement. Ici tout terrain appartient à quelqu’un. Les habitants sont très heureux de vous autoriser à cueillir bananes pamplemousses avocats citron etc., mais il faut avoir la politesse de demander. Sinon vous seriez mal considéré et là les portes se ferment. Les pamplemousses sont ici excellents et je n en ai jamais trouvé d’aussi gros et d’aussi sucrés ailleurs. J4EN AI VU UN DE 4 kilos.
Vous devez en arrivant vous signaler à la gendarmerie ainsi qu'à votre départ. Bien entendu se munir des papiers du bord et pièces d'identité.
Un bureau de poste reçoit le courrier. Pour les voiliers de passages mentionner poste restante.
Une cathédrale immense pour un si petit village accueille les fidèles, cependant nous avons été surpris de la trouver pleine mais il s'agissait de la communion solennelle et tous les mangareviens étaient présents. Plus surprenant encore,  une bénédiction des véhicules de l'île (voitures tracteurs motos vélos) par l'évêque suivit cette cérémonie.
Il y a de belles promenades à effectuer si les conditions s'y prêtent (ce qui ne fut pas notre cas).
 Ne pas quitter sans visiter le tombeau de l’ancien roi, les ruines de sa demeure et les ruines du couvent des sœurs.
 Ne pas quitter sans visiter le tombeau de l’ancien roi, les ruines de sa demeure et les ruines du couvent des sœurs.
          








              LA CATHEDRALE                                                                                                               
Toute l'économie de l'archipel est basée sur la culture des perles (noires) et de nombreuses fermes perlières se partagent le lagon. Nous avons pu en visiter une et découvrir ainsi tout le processus menant à la production d'une perle.
Ce sont des chinois qui effectuaient la greffe des huîtres. Ils sont préférés aux polynésiens (il y a une école de formation) du fait de leur dextérité et du meilleur rendement lié à la fois à leur vitesse d'exécution et surtout aux résultats obtenus.
Le gouvernement de ce fait a exigé que dans deux ans les effectifs des greffeurs soient au minimum moitié/moitié.
Les perles des Gambier sont réputées pour être les plus belles de la Polynésie Française
Puis viennent celles de TAHAA (îles sous le vent).
Pour une visite de la ferme perlière demander après M.Dominique Devaux qui se fera plaisir de vous faire visiter la sienne qui est de loin la plus performante. Il avait en projet d’organiser des visites et en prime les visiteurs plongeraient pour choisir une huître et recevraient en cadeau la perle contenue.
Que penser de notre séjour, nous n’avons pas été aidé par la météo et notre passage nous aurait plutôt paru fade sans la connaissance de Didier (fritz Schmack). D’aucun nous l’avait dénigré, tu verras il boit beaucoup et lorsqu’il a bu il n est pas sortable. Nous l’avons invité par deux fois à bord ou il s’est conduit en véritable gentleman.
Toujours est-il que si vous avez des besoins de lavage, c’est lui qu il faut voir, il vous mettra sa machine à laver à disposition et également son séchoir à linge et ce pour un prix dérisoire. C est un ancien légionnaire qui après les tirs atomiques a élu domicile sur Mangareva ou il a fondé un foyer qui comprend de nombreux enfants et petits enfants maintenant. Il possède une camionnette avec laquelle il vous fera faire le tour de l’île, si vous obtenez son estime : ce fut notre cas. Ayant perdu malheureusement son épouse il vit seul maintenant et il me semble qu’un peu de compagnie l’arrange.
Si vous prenez l’unique route du village (tourner à droite après le quai de  goélettes)
vous trouverez peint en blanc sur une grosse roche à l’extrémité du village « Yacht Club » c’est là.
Notre séjour durera deux mois environ surtout lié au fait qu’étant en panne de pilote nous attendions des pièces pour le réparer. Finalement nous repartirons sans vers Tahiti en passant par les TUAMOTU.
Mais ceci fera l’objet d’un autre récit.

samedi 26 mars 2005

Isabela - FM5FZ DISTRIBIL-III

Isabela - FM5FZ DISTRIBIL-III

Le 26 nous avons quitté St Cristobal vers 06h30 , une petite brise de 5 noeuds apparents de ese nous a aider pendant 2 heures1/2 puis plus de vent et donc moteur. Une demie heure après ce départ nous prenons un joli thon jaune de 62 cms , il ne reste plus qu'à ranger les lignes . Nous ramassons également le génois . Route moteur , une brume de chaleur s'est installé sur cette mer plate . Nous croisons de nombreux dauphins ,otaries et tortues de mer.
Le thon est vivement nettoyé et une partie se retrouve en marinade façon tahitienne . Nous allons nous en régaler avec l'apéritif. 17h30 nous mouillons à Ayora Port de Santa Cruz Galapagos. Le port est occupé par de nombreux transports de passagers. nous sommes à peine ancré par 4m50 qu'une vedette de contrôle de la capitainerie nous interpelle . Nous expliquons que nous ne ferons que passer la nuit pour repartir demain matin à la première heurs sans descendre à terre . Ils acquiescent . Nous allons donc échapper à une nouvelle ponction. Il y a de nombreux voiliers et encore des otaries sur le plan d'eau . Cette traversée lente nous a permis de ne faire que trois heures de moteur. Le mouillage s'avèrera rouleur ,par contre vue les bateaux de pêche locaux , la pêche avec une ligne à main sembler être autorisée. Nous appareillerons à 07 h pour Isabella . Pas de vent au départ , puis il va se lever doucement de sud est à est maximum 7 noeuds . Nous finirons donc le parcours sous voiles aidé par un bon courant de 1 à 2 noeuds . Pas de poissons sur les lignes Par contre à l entrée de la baie nous apercevrons 4 fois la nageoire dorsale d un requin.

L ancre sera a l eau à 17 heures locales .48 milles soit presque 5 noeuds de vitesse moyenne. Nous sommes dans un petit mouillage sur la droite en entrant, il a un balisage qui marque l'entrée ; bouée verte et rouge et également une bouée jaune dans le milieu de cette anse Cet endroit est bien protégé de la houle mais attention à ne pas trop s'enfoncer et trop serrer la droite car il y a plusieurs cayes près des îlots (avec feu) qui bordent cette anse. Un coast-guard se trouve mouillé au mème endroit. Plusieurs bateaux de pêche locaux dans le fond . Il y a des lames formidables ici pour les pratiquants du surf. Le village est petit mais très sympathique. Les gens y sont très accueillants. Plein de petites boutique et restaurants peu onéreux trois cyber-café plutôt lent à 2 et 2,50 us l'heure.

L'on trouve sur Isabella tous les animaux étranges des Galapagos , les tortues géantes y sont plus nombreuses et il y a une écloserie ici que l'on peut visiter . Les iguanes marins sont nombreux et peu farouches , les otaries moins nombreux que sur San Cristobal , des pingouins des Galapagos , des piquero pasta azules que l'on peut observer du bateau et plein d'autres oiseaux. J'ai pu observer 4 otaries en pêche dans la baie toute proche du village , comme je me trouvais sur un promontoire , j ai pu assister à un ballet fantastique. Autre avantage les otaries ne s'approchent pas des bateaux donc peu de chance de les voir grimper dans votre annexe . Pour se rendre au village aller en annexe dans le fond de l'anse sur la gauche . A cet endroit se trouve le quai des pêcheurs ou il y a un accès pour débarquer les passagers et il est conseillé de remonter le dinghy sur la plage près du bar qui s'y trouve (le seul)et d'y déposer jerrican et tuyau. une deuxième possibilité sur le promontoire près du village mais l'accès est plus sportif et plus risqué : houle, cayes et ressac ,seul avantage on est tout de suite arrivé au centre du bourg. Ici la pêche est autorisée et l'on observe souvent des pêcheurs locaux pratiquant la chasse en apnée. D'ailleurs ici pas de contrôle et le coup de la clearance est inférieure aux autres îles . Pour les vivres fraîches nous n'avons rencontré aucun problème et la viande y est de bonne qualité.

Pour les excursions deux guides se proposent . Le premier se nomme Antonio et l'on peut le demander à l'hôtel San Vincente, le deuxième est plus jeune et donc plus dynamique se nomme Joseph et l on peut le trouver à l'hôtel marita. Le deuxième parle plusieurs langues et assez bien l'anglais, toutefois il est un peu plus cher qu'antonio. Nous avons visités le volcan sierra negra qui est le deuxième volcan du monde par le diamètre de son cratère après le Mato grosso en Afrique du sud. Pour s'y rendre il faut prendre un véhicule genre 4/4 qu vous amène jusqu'au pied du volcan ou l'on prend le cheval ou à pieds. Une fois rendu au sommet , l'on abandonne les chevaux pour faire à pieds la visite du volcan Chico.

Nous avons pratiqué les deux méthodes . Dans les deux cas se munir de lunettes de soleil , couvre chef, crème solaire , un petit vêtement pour le froid et en cas de pluie (ce qui nous est arrivé),de bonnes chaussures de marche et de nourriture et boisson fraîche.
Pour le voyage entier avec cheval , il m a été demandé 25 dollars us, pour le trajet à pied mon épouse à payée 7,5 us .Plus le groupe est conséquent et moins le prix est élevé.

Toutefois bon courage pour ceux qui tentent le trajet à pieds car la pente est assez forte par endroit et la piste qui est celle des chevaux est défoncée. Mon épouse et l'amie qu'elle accompagnait on fait demi-tour dès qu'elle ont vu le cratère. Cela représente plus de 4 kms aller et retour, plus deux autres pour le volcan Chico avec un parcours plus difficile.
Nous aurons passé 5 jours sur Isabella C'est le meilleur séjour de toutes ses îles. Je le conseille donc . Nous avons décidé de tenter le grand saut samedi matin. amitiés à tous,

Guy et Annick (DIDTRIBIL-III)

vendredi 25 mars 2005

San Cristobal - FM5FZ - DISRTIBIL-III

San Cristobal - FM5FZ - DISRTIBIL-III - 25 mars 2005

Nous quitterons Puerto Baquerizo Moreno qui le seul port de l'île de San Cristobal sans regret. A notre arrivée je vous avais signalé ,l'intrusion à bord du voilier de Fernando qui se dit être l'ami du capitaine du port et aussi être un guide touristique . Tout ceci est faut bien entendu . Ne rien traité avec ce monsieur.

Donc le lendemain nous prenons un taxi water pour nous rendre à l'arret des taxi route. Nos amis français sont bien là, nous renouons connaissance et apprenons le prix de la randonnée demandé par Fernando : 30 us. Fernando n'étant pas encore arrivé nous nous promenons un peu dans la ville et sommes de retour 1/4 d heure plus tard . Cette fois le taxi et Fernando sont là.

Deux anglais du voilier "white princess" sont déjà dans l'arrière du 4/4 . Au moment de payer nous demandons le prix et Fernando nous annonce 35 us , bien entendu nous contestons et il accepte de nous prendre les 30 us convenus . Les amis nous rejoignent quelques instants plus tard et payent également 30 us par personne. Nous interrogeons les anglais qui nous déclarent avoir payés eux 35 us . Total de la course 220 us . Le taxi n°45 est conduit par un résident de type indien "Antonio", très sympathique et qui nous servira de guide dans ce voyage . Nous quittons la ville vers 09h30 , nous arrêterons à plusieurs points de vue panoramique , puis visiterons la réserve de tortue géante et le volcan Junco pour finir à la pointe sud de l'île "plage loberia" ou se trouve les iguanes marins et vers deux heures nous retrouverons Fernando chez lui pour un frugal repas (potage, poulet riz, salade,tanche de pastèque et une citronnade collective). Nous nous retrouvons libéré vers 15 heures . Notre groupe se disperse ,nous retournons sur le bord du port et trouvons un petit lolo "chevichera la barra de meyid " tenu par la senora "estrella marina" . Nous prenons une bière locale "Pilsner " 578 cm3 pour 1,50 us . Dans la conversion qui s'engage elle trouve exagérée le prix que nous avons payé et nous déclare que si nous l'avions consultée elle nous aurait organisé le mème parcours pour la somme de 100 us avec repas chez elle compris . Grande est notre déception . 

Fernando reviendra en question deux jours plus tard les amis de "Awen" lui ayant commandé 15 gallons de gaz-oil il vient leur livrer leur commande à bord , et se voit taxé de 1.70 us le gallon et il conservera la monnaie restante en prétextant une augmentation du gaz-oil . En fait lors de notre passage devant la station d'essence , j'avais noté le prix du gallon de diesel à 1,02 us le Gallon . La leçon ayant servi nous ferons notre plein de la façon suivante 14 bidons de 25 et 30 litres en deux voyages . Taxi water 4 us , taxi route 6 us (1 dollar pour l'attente)et le gaz oil à 1,02 le gallon en tout.

Conséquence: ne rien acheter ou commander au gens qui viennent vous visiter à bord vous avez toute chance de vous faire rouler. 

Quant à la ballade elle fut excellente , la visite du centre de réserve des tortues géantes est gratuite . Seul manquement à notre satisfaction les iguanes n'étaient pas présents au rendez vous . Je ne verrai qu'un cadavre au long de la plage prouvant qu'ils existent bien . Cette randonnée vous permet donc de voir en une seule fois tout ce qui est intéressant sur San Cristobal.

De fait le grand domaine des tortues géantes se trouvent dans un parc naturel interdit à la visite situé dans le nord de l'île ; Ils effectuent quelques prélèvements sur lot de temps à autres pour alimenter la réserve visitable ou il y a une écloserie et des aménagements spécifiques pour ces animaux . Le nombre de tortues présentes sur ce site étaient de 31 mais nous n'en avons vues ou aperçues qu'une dizaine.

La ballade au volcan (éteint) Junco est intéressante . Le fond de ce volcan est devenu un lac qui est la réserve d'eau du port. Il y fait frisquet mais la vue alentour est superbe.

Le reste du séjour se passera en visite de la ville et photos des otaries sur les quais . Ces otaries qui séjournent presque toutes sur une seule plage près de la capitainerie . Cet endroit dégagent une forte odeur de musc par les grandes chaleurs.

Pour se rendre à terre je conseille d'utiliser le taxi water , car s'il est possible d'amarrer son dinghy au long du quai ,cela devient sportif et risqué à cause du marnage et du piratage . Nos amis y ont laissé un feu à éclat et mème un taxi water à vu disparaître une sacoche avec sa monnaie et son portable. Le coût du taxi-water est de 1/2 dollar par personne . Une course en ville quelque soit l'endroit est de 1 dollar en taxi route . La randonnée de l'île est de 40 dollars.
Il y a de nombreux restaurants tous à bas prix . Je recommande La barra de meyid qui vous fournit une cheviche de son cru accompagné façon salade (oignons tomates poivrons fines herbes ) excellent pour 2 us et également un plat complet de poisson riz salade pour 3 us et un genre de paella (marisco) pour 5 us . Également au centre ville dans une rue allant vers le marché municipal chez Anita ou nous avons trouvé le meilleur rapport qualité prix; ainsi un potage agrémenté de légumes et poissons (excellent) puis un plat filet de poisson pané riz et lentilles et enfin un dessert riz au lait accompagne d'un jus de papaye pour seulement 2 us dans un endroit très propre avec air conditionné.

Il y a plusieurs cyber-café , tous d'une lenteur extraordinaire , le plus intéressant car un peu plus rapide se trouve en face de la supérette "Los dos hermanos" , il a en principe l'air conditionné mais elle ne fonctionnait pas pour notre passage : coût 2us l'heure.

Il existe un marché municipal qui est ouvert tous les jours ou l'on trouve fruits et légumes frais à bon prix seul ennui il n'est pas très achalandé; Il faut s'y rendre de bonheur le matin (entre 6 et 7 heures) pour avoir quelque chance d'ètre satisfait. Une petite supérette "los dos hermanos" ou l'on trouve de l'eau minérale pour 1.25 us le bidon de 5 litres ,nombreuses conserves , pâtes alimentaires , viande fraiche et congelée , poisson séché etc.
Possibilité du poisson frais aux pécheurs à 2 dollars la livre toutefois surveiller les arrivées (rare au quai)
La population est majoritairement sympathique et prête à rendre service.

Inconvénients du séjour :

Il est rigoureusement interdit de pêcher mème avec une ligne à main . Vous ne pouvez vous déplacer du port en bateau sauf par les tours opérators locaux . L'eau fournie n'est pas potable. Les otaries n'arretent pas de tenter de pénétrer en force dans votre bateau et votre dinghy . Compte tenu des restrictions obligées le prix demandé pour le séjour est excessif.

Guy & Anik (DISTRIBIL-III)